Témoignage François Delesdain Au top en coût à l'hectare ! Aviculteur 2021 Fargues 40500 Landes Culture/Production François Delesdain est aviculteur à Fargues dans les Landes; installé depuis 1978. Utilsateur des solutions SOBAC depuis 2004. Son exploitation : 35 ha de maïs 80 000 poulets Label Rouge à l’année, « Poulet jaune des Landes », 30 ha de maïs consommation. Produit/Usage Bactériolit (depuis 2004) / Pour valoriser les effluents d'élevage< Bactériosol booster (depuis 2020) / Pour une fertilisation localisée< Témoignage Avec le maïs qu’il produit, François Delesdain nourrit ses poulets dont le fumier ensemencé avec BACTÉRIOLIT sert à fertiliser les sols. « Ainsi la boucle est bouclée » dit ce fidèle de SOBAC qui essaie de tout optimiser en étant le plus autonome possible « pour ne pas à avoir à subir les cours mondiaux ». « Le modèle productiviste axé sur la chimie ne me plaisait plus. Dans mes cours, on m’avait parlé d’humus et de matière organique mais on ne faisait jamais le lien entre les deux. C’est ce qui m’a plu dans le discours cohérent de Patrick Fabre, un des co-gérants SOBAC. Les champignons humifient, les bactéries minéralisent ça a été sa réponse pour comprendre le lien. J’avais la clé. C’était en 2004 et j’ai été tellement convaincu que j’ai tout de suite ensemencé tous les fumiers avec BACTÉRIOLIT. J’ai arrêté du jour au lendemain les engrais de fond, la chaux et les oligoéléments, ce qui équivalait à 25 t d’intrants. Je mets BACTÉRIOLIT soit quand les poulets ont 4 semaines, soit en fin d’élevage. J’ai adapté le produit à mon système. J’ai arrêté de labourer et je mets un épandeur de fumier ensemencé à l’hectare. Cela me permet de tout couvrir. Depuis plus de 15 ans que je travaille avec ce procédé, en dépit des aléas climatiques, j’améliore mes rendements maïs. En 2019, j’ai fait une moyenne de 127 quintaux/ha avec des pics à 140 quintaux. Je suis dans la moyenne haute sur le secteur et je suis vraiment au top en coût à l’hectare. Avec BACTÉRIOLIT, il y a une reprise de la vie du sol avec un développement de la pousse de champignons et une recolonisation par les vers de terre de toutes tailles. Il y a une très nette amélioration de la structure des sols, de sa souplesse. Sur des parcelles limono-argileuses, les voisins font 3 à 4 passages de herse rotative quand je n’en fais qu’un seul. C’est un gain de temps et une plus grande facilité de travail. Au niveau de la matière organique, je suis à + 0,5% en 15 ans, ce qui signifie que j’ai fixé du carbone dans les sols. J'ai arrêté les insecticides en végétation Dans le même temps, j’ai arrêté les insecticides en végétation contre la sesamie et la pyrale. Ce qui veut dire qu’il y a un rééquilibrage de la nature et donc moins de produits chimiques sur le maïs. Si j’augmente mes rendements en enlevant les insecticides, c’est que ça va dans le bon sens. Si on veut maintenir la biodiversité des espèces, il ne faut pas détruire tous les parasites. J’ai trouvé le bon équilibre et mes maïs ne sont pas plus fragiles que les autres. Autre exemple, je mets très peu d’anti-limaces alors que la plupart en mettent beaucoup. Avec mon maïs, je n’ai jamais eu de problèmes avec mes poulets qui suivent leur courbe de croissance. L’ambiance dans les bâtiments est nettement meilleure avec la baisse de l’ammoniac en suspension Cette année, sur 10 ha j’ai mis du BACTÉRIOSOL Booster pour remplacer la localisation d’azote au moment des semis. Le réglage est très facile et il y a moins de quantités à manipuler. Visuellement il n’y a pas photo. Côté BACTÉRIOSOL Booster, c’est beaucoup plus beau en taille et en régularité des épis que du côté localisation minérale. Je vais poursuivre dans cette voie. Depuis que je travaille avec SOBAC, je note une limitation appréciable des pics de travail et une simplicité du système. À équipement égal, je passe moitié moins de temps sur les parcelles Il y a aussi un lissage des rendements. BACTÉRIOLIT, c’est la racine de mon activité que ce soit pour faire le maïs, les autres cultures ou l’élevage de mes poulets. Je raisonne d’abord vie du sol et tout le reste suit. Quand on règle la herse, maintenant il faut faire attention à ne pas faire une terre trop fine quand avant on réglait pour casser les mottes. Cette évolution, c’est dû à la création d’humus. Résultats Il utilise les solutions BACTÉRIOLIT et BACTÉRIOSOL Booster. Une amélioration du coût à l'hectare De très bons rendements, plus homogènes Arrêt des intrants chimiques et des insecticides Une reprise incroyable de la vie du sol avec plus de matières organiques Il y a une très nette amélioration de la structure des sols, de sa souplesse Moins de passages sur les parcelles => gain de temps Une bien meilleure ambiance en bâtiments => baisse de l’ammoniac en suspension